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          Leïla Sebbar

          Leïla Sebbar

          Ecrivain franco-algérienne

          Biographie de Leïla Sebbar

          Née d’un père algérien instituteur et d’une mère française, institutrice elle aussi en Algérie, Leïla grandit avec son frère et ses soeurs dans ce pays avant d’arriver, à dix-huit ans, à Aix-en-Provence pour des études supérieures de lettres. Ne parlant pas arabe, Leïla revient sur ce double exil dans ‘Je ne parle pas la langue de mon père’ (2003). Dans le livre-album, ‘Mes Algéries en France’ (2004), un recueil de récits mêlant réalité et fiction, Sebbar évoque avec amour la France et l’Algérie. Professeur de lettres, elle publie, dans les années 70, ses premiers essais, des réflexions sur la violence faite aux filles en France. Elle publie ensuite ‘Le Chinois vert d’Afrique’ (1984), ‘Les Carnets de Shérezade’ (1985), ‘Le Silence des rives’ (1995), récompensé par le Prix Kateb Yacine. ‘La Jeune Fille au balcon’ (1996) et ‘La Seine était rouge’ (1999) sont particulièrement appréciés par la jeunesse. Dans ‘Lettres parisiennes, autopsie de l’exil’ (1993), correspondance avec Nancy Huston, elle revient sur l’exil. En 2006, paraissent les romans ‘Les Femmes au bain’ et ‘L’Habit vert’ et en 2007 ‘Le Vagabond’, ‘Marguerite’ (pour la jeunesse), ‘Le Ravin de la femme sauvage’, ‘Métro, Instantanés’. Leïla Sebbar vit à Paris depuis 1963 et collabore à France Culture ainsi qu’à diverses revues dont le Magazine Littéraire.

          Chroniques & anecdotes

          • Génération ‘chique’

            Leïla collectionne les boîtes à chiquer qu’elle considère comme des signes d’une rupture entre générations : les pères algériens chiquaient, leurs fils fument des cigarettes.

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