“- A quoi servent les grands-mères ? - Eh bien... La mienne me sert !” De David MacCord / Les Grands-mères
“Sait-on jamais pourquoi on aime les gens ? Non. Eh bien ! Pour les objets, c’est la même chose.” De Alphonse Allais
“Eh oui ! On s’épouse sans se connaître. Vous voulez donc qu’il n’y ait plus de mariages !” De Henry Becque
“Eh bien ! Oui, c’est mon vice. Déplaire est mon plaisir. J’aime qu’on me haïsse.” De Edmond Rostand / Cyrano de Bergerac
“Battre les femmes avec une fleur, eh, pourquoi faire ? Ça ne leur ferait pas du tout de mal.” De Paul-Jean Toulet / Les Trois Impostures
“Les mots jamais ne vont parfaitement ? Ils sont approximatifs, glissants, suspects, déchus ? Eh bien, multiplions-les !” De Roger-Pol Droit / Ma philo perso de A à Z
“Si la civilisation n'est pas dans le coeur de l'homme, eh bien ! elle n'est nulle part. ” De Georges Duhamel / Civilisation
“Dans un oeuf, y’a du blanc et du jaune. Eh bien plus on mélange, plus il n’y a que du jaune !” De Coluche / Les vacances
“Vous connaissez le dicton français : noblesse oblige. Eh bien, c'est toute la définition de la noblesse : elle oblige et ne fait pas autre chose.” De Valéry Larbaud / Les Poésies de A. O. Barnabooth
“Etes-vous ce qu’on appelle un heureux ? Eh bien, vous êtes triste tous les jours. Chaque jour a son grand chagrin ou son petit souci.” De Victor Hugo / Les misérables
“La mort, je l’ai vu de près... Eh bien, elle ne gagne pas à être connue ! Elle a une sale tête de mort !” De Henri Jeanson / Fanfan-la-tulipe
“Quand une femme s'engage à vous aimer, il ne faut pas toujours la croire. Mais quand elle s'engage à ne pas vous aimer, eh bien ! il ne faut pas trop la croire non plus.” De Edouard Bourdet / La Prisonnière
“Pourquoi donc, en effet, le riche serait-il plus heureux que le pauvre ? Il ne travaille point ; eh bien ! il n'a pas le plaisir de se reposer.” De Claude Tillier / Mon oncle Benjamin
“Mais moi, vivre à Paris ! Eh ! Qu'y voudrais-je faire, je ne sais ni tromper, ni feindre, ni mentir ; et, quand je le pourrais, je n'y puis consentir.” De Nicolas Boileau / Satires