“Il n’y a qu’une liberté, et son nom sera toujours écrit avec les lettres du sacrifice et du deuil.” De Hafid Aggoune / Quelle nuit sommes-nous ?
“Le héros est un homme qui réalise, au prix de n’importe quel sacrifice, le plus haut idéal du devoir, tel qu’il le conçoit.” De Elizabeth Gaskell / Le Héros du fossoyeur
“La vie ce n'est pas la distraction et le mouvement du monde. Vivre, c'est sentir son âme, toute son âme. C'est aimer, aimer de toutes ses forces, toujours, jusqu'à la fin, et jusqu'au sacrifice.” De Harry Bernard / La Maison vide
“Aimer... C'est tout ce qu'on peut s'imaginer de plus doux, de plus fort, de plus beau. C'est le sacrifice et la possession réciproque de deux être unis pour la vie...” De Georges Pétin / Paroles de Poilus - Lettres et carnets du front
“C’est en parvenant à nos fins par l’effort, en étant prêt à faire le sacrifice de profits immédiats en faveur du bien-être d’autrui à long terme, que nous parviendrons au bonheur caractérisé par la paix et le contentement authentique.” De Dalaï Lama / Sagesse ancienne, monde moderne
“Ah ! que pour ton bonheur je donnerais le mien - Quand même tu devrais n’en savoir jamais rien - S’il se pouvait, parfois, que de loin j’entendisse - Rire un peu le bonheur né de mon sacrifice !” De Edmond Rostand / Cyrano de Bergerac
“Un acte de vertu, un sacrifice ou de ses intérêts ou de soi-même, est le besoin d’une âme noble, l’amour-propre d’un coeur généreux, est, en quelque sorte, l’égoïsme d’un grand caractère.” De Chamfort / Maximes et pensées
“De tous les morts dont la chaîne innombrable constitue notre trésor de gloire, ceux-là plus qu'aucuns autres incarneront, dans sa pure gratuité, l'esprit de sacrifice.” De Pierre Brossolette / son discours "Hommage aux morts de la France combattante" à Albert Hall, le 18 juin 1943
“Je crois que l'homme ne perdurera pas simplement, il prédominera. Il est immortel, non seulement parce qu'il est la seule créature à posséder une voix inépuisable, mais aussi parce qu'il a une âme, un esprit capable de compassion, de sacrifice; et parce qu'il est capable de tout supporter.” De William Faulkner / Discours pour le Prix Nobel de Littérature, 1950