Citations Spleen Précisez votre recherche : Tout EveneCitationsCélèbre Termes connexes : nostalgie, cafard, mélancolie, tristesse, ennui, neurasthénie, chagrin, bourdon
“Mais qu'importe l'éternité de la damnation à qui a trouvé dans une seconde l'infini de la jouissance !” De Charles Baudelaire / Le Spleen de Paris
“Il n'est pas de plaisir plus doux que de surprendre un homme en lui donnant plus qu'il n'espère.” De Charles Baudelaire / Le Spleen de Paris
“Il est bon d'apprendre quelquefois aux heureux de ce monde, qu'il est des bonheurs supérieurs aux leurs, plus vastes et plus raffinés.” De Charles Baudelaire / Le Spleen de Paris
“L'étude du beau est un duel où l'artiste crie de frayeur avant d'être vaincu.” De Charles Baudelaire / Le Spleen de Paris
“Celui-là seul est l'égal d'un autre, qui le prouve, et celui-là seul est digne de la liberté, qui sait la conquérir.” De Charles Baudelaire / Le Spleen de Paris
“On est jamais excusable d’être méchant, mais il y a quelque mérite à savoir qu’on l’est ; et le plus irréprochable des vices est de faire le mal par bêtise.” De Charles Baudelaire / Le Spleen de Paris
“Qu’importe ce que peut être la réalité placée hors de moi, si elle m’a aidé à vivre, à sentir que je suis et ce que je suis ? ” De Charles Baudelaire / Le spleen de Paris
“Malheureux peut-être l'homme, mais heureux l'artiste que le désir déchire !” De Charles Baudelaire / Le spleen de Paris
“Tuer le Temps qui a la vie si dure, et accélérer la Vie qui coule si lentement.” De Charles Baudelaire / Le spleen de Paris
“La tombée de la nuit a toujours été pour moi le signal d'une fête intérieure et comme la délivrance d'une angoisse.” De Charles Baudelaire / Le spleen de Paris
“Qu'importe l'éternité de la damnation à qui a trouvé dans une seconde l'infini de la jouissance ?” De Charles Baudelaire / Le spleen de Paris
“Pour n’être pas les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous, enivrez-vous sans cesse ! De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise.” De Charles Baudelaire / Le spleen de Paris
“Il faut être toujours ivre. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brise vos épaules, il faut s’enivrer sans trêve. De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous !” De Charles Baudelaire / Le Spleen de Paris