“Quand nous regardons une femme, nous pensons à nous, tandis qu’elle, maligne, c’est à nous qu’elle pense.” De Sacha Guitry
“Le savoir est une couronne sur la tête, tandis que la richesse n’est qu’un joug sur le cou.” De Proverbe persan
“Le roman est l'histoire du présent, tandis que l'histoire est le roman du passé.” De Georges Duhamel / Essai sur le roman
“Les défaites nous ramènent aux choses essentielles, tandis que les succès ne font que nous en éloigner.” De Ronald Lavallée / Tchipayuk ou le chemin du loup
“Un bon mot peut sauver une vie tandis qu'un mauvais peut détruire à jamais une existence.” De Michel Bouthot / Chemins parsemés d'immortelles pensées
“Le divertissement pouvant être vu par tous, rassemble la famille, tandis que la culture, rejetée par certains, la divise.” De Bernard Pivot / Le Métier de lire
“Les grands esprits sont capables de grandes cruautés, tandis que les petits n'en font que de petites.” De Lydie Salvayre / Libération - 29 Juillet 2000
“La télévision, c'est du télé-objectif, tandis que le cinéma, c'est du grand-angle.” De David Lynch / Libération - 5 Juin 1992
“Au fur et à mesure que l’homme vieillit, la réalité s’affaiblit, tandis que le rêve se renforce.” De Milos Tsernianski / Chez les Hyperboréens
“La lutte et la révolte impliquent toujours une certaine quantité d’espérance, tandis que le désespoir est muet.” De Charles Baudelaire / Les Paradis Artificiels, 1860
“La personnalité des femmes est toujours à deux, tandis que celle de l'homme n'a que lui même pour but.” De Madame de Staël
“Plaire n'est pour lui qu'un moyen de succès ; tandis que pour elle, c'est le succès lui-même.” De Pierre Choderlos de Laclos / Lettres
“Tandis que nous parlons, le temps jaloux aura fui ; Cueille le jour, sans te fier le moins du monde au lendemain.” De Horace / Odes
“La nature n'a accordé aux hommes que la constance, tandis qu'elle donnait aux femmes l'obstination.” De Pierre Choderlos de Laclos
“Pitié pour la nation où les sages sont rendus muets par l'âge, tandis que les hommes vigoureux sont encore au berceau.” De Khalil Gibran