“Il faut apprendre à rester serein au milieu de l’activité et à être vibrant de vie au repos.” De Gandhi
“Il n'existe pas de plus beau paysage que le corps vibrant ou alangui de qui l'on aime ; pas de plus sûr refuge que l'âme secrète et tendre de qui l'on aime ; pas de meilleure nourriture que les caresses de qui l'on aime.” De Jean Simard / La Séparation
“Dans le coeur humain, il y a des cordes qu'il est préférable de ne pas faire vibrer.” De Charles Dickens
“L'ennemi, lui aussi, fait vibrer notre corde sensible. Pour qu'elle casse.” De Stanislaw Jerzy Lec / Nouvelles pensées échevelées
“Dur de vibrer pour des lendemains qui chantent quand on sait qu'on ne fera pas partie de la chorale.” De Guy Bedos
“Car le mot, qu'on le sache, est un être vivant. La main du songeur vibre et tremble en l'écrivant” De Victor Hugo / Les Contemplations
“Les êtres les plus beaux, les plus doux, les plus vibrants sont justement ceux-là que la vie entraîne en des voies pleines de détresses et de douleurs.” De Jean-Charles Harvey / Les Demi-civilisés
“Le doute et le choix qui l’accompagne sont les deux forces qui font vibrer les cordes de nos émotions.” De Marc Levy / Et si c’était vrai...
“Aimer, c'est aussi posséder, c'est aussi triompher de la joie de sentir un autre vibrer comme soi...” De Georges Pétin / Paroles de Poilus - Lettres et carnets du front
“La vraie beauté, ce n'est pas forcément ce qui est parfait. Tu peux la trouver dans la laideur comme tu peux admirer une toile de maître sans que son esthétique te fasse vibrer.” De Ysabelle Lacamp
“Pour créer la femme, Dieu s'est inspiré de la contrebasse : une petite tête sur un long cou, un encombrement maximal, elle ne vibre que lorsque vous lui frottez le ventre, et émet un son qui couvre tout.” De Régis Hauser / Les Murs se marrent
“Une femme a besoin de se sentir présente dans le coeur d'un homme, vibrante et croissante ; le regard de l'homme qui l'aime, c'est pour elle le soleil, l'air, l'ombre et la pluie.” De Andrée Maillet / Le Lendemain n'est pas sans amour
“Je crois qu’on entend encore dans les entrées d’immeubles l’écho des pas de ceux qui avaient l’habitude de les traverser et qui, depuis, ont disparu. Quelque chose continue de vibrer après leur passage, des ondes de plus en plus faibles, mais que l’on capte si l’on est attentif.” De Patrick Modiano / Rue des boutiques obscures