Théâtre

Harold David et Laurent Domingos, coprésidents d’Avignon Festival & Compagnies, ont présenté lundi la 59e édition du off qui accueillera plus de 1 780 manifestations culturelles.

CRITIQUE. François Marthouret interprète admirablement Le Livre de l’intranquillité, le chef-d’œuvre de l’écrivain portugais au Théâtre du Petit Saint-Martin, à Paris.

Une dizaine d’artistes a refusé de se rendre à l’événement qui se tiendra le 11 juin prochain à Washington en guise de riposte à la prise de contrôle par le président américain du centre culturel en février dernier.

CRITIQUE. Lorraine de Sagazan met en scène au Théâtre Odéon-Berthier une pièce sur la comparution immédiate, procédure expéditive. Puissant et troublant. 

CRITIQUE - Vingt-deux ans après avoir mis en scène La Puce à l’oreille, Stanislas Nordey s’attaque à cet autre vaudeville de Feydeau. Mais il oublie d’être drôle. Dommage.

CRITIQUE - La metteuse en scène revisite des sketches des cabarets satiriques de Hanokh Levin. Du burlesque grandiose et du cradingue.

Le metteur en scène et directeur du Théâtre de La Colline ne parvient pas à émouvoir avec l’histoire de cette famille qui se déchire sur fonds de guerre. À éviter jusqu’au 22 juin.

L’acteur est actuellement à l’affiche de Good Night, and Good Luck, une pièce adaptée de son film de 2005. Il est nommé pour la première fois aux «Molières américains», tout comme Mia Farrow.

CRITIQUE - Au Théâtre des Bouffes Parisiens, Julie Berès et Kevin Keiss s’interrogent sur la place des hommes. Une pièce portée par la fougue de la jeunesse.

Le maire François de Mazières a dévoilé le programme des 330 spectacles qui seront proposés en juin dans soixante lieux de la ville et « pour tous les publics ».

CRITIQUE - Le show qui a triomphé à Broadway pendant trois ans met en scène Céline Dion en rescapée du naufrage. Un spectacle déjanté, mais qui manque de profondeur.

De la fresque claudélienne à la comédie policière, en passant par l’humour de Paul Mirabel ou la puissance de Du charbon dans les veines... Voici où applaudir les pièces primées, pour celles qui jouent encore.

ENQUÊTE - Dans la capitale, les marionnettes pour enfants semblent appartenir à un autre siècle. Mais, si l’avenir du théâtre des Champs-Elysées est incertain, les autres «Guignols» se portent aussi bien que dans les années 1960.

CRITIQUE - La pièce saignante d’Adèle Royné met en scène une fratrie pas si tendre avec une troupe au diapason.

Au sein du musée-mémorial Yad Vashem, une représentation centrée sur l’artiste juif allemand Leo Hass rescapé des camps nazis, ambitionne d’éveiller les consciences des jeunes générations, à l’heure où les témoins de l’époque se raréfient.

CRITIQUE - Charles Templon incarne avec fougue et innocence le héros du conte de Voltaire revisité par Didier Long.

CRITIQUE - Au théâtre, le célèbre roman-feuilleton d’Eugène Sue est brillamment adapté en comédie musicale et nommé aux Molière.

CRITIQUE - Elsa Granat revisite la célèbre pièce de Tchekhov avec la volonté d’analyser les névroses des personnages. Un exercice périlleux sauvé par la sidérante prestation de Marina Hands.

NOUS Y ÉTIONS - Cet humoriste bienveillant, avec son sens de la satire sociétal et de l’improvisation, séduit le public par sa complicité.

CRITIQUE - Thierry Hancisse incarne formidablement le héros de la comédie grinçante de Marius von Mayenburg, aux côtés de Thierry Godard.

L’œuvre créée en 1959 et inspirée des mémoires de l’artiste burlesque Gypsy Rose Lee est donnée à la Philharmonie de Paris du 16 au 19 avril, avant une tournée.

CRITIQUE - Le prodigieux comédien interprète le Discours de la servitude volontaire revu par LM Formentin au théâtre de l’Essaïon, à Paris.

CRITIQUE - Au Théâtre Antoine, le comédien interprète le prince de la repartie et des déclarations d’amour avec une finesse qui touche juste.

L’Américain, lauréat 2025 du prix du meilleur comédien des « Molière » britanniques, regrette notamment « la prise de contrôle du Kennedy Center » par l’administration Trump.

Au Théâtre Saint-Georges, à Paris, Johanna Boyé transpose avec brio la pièce parodique inspirée du roman de Jane Austen. Elle est nommée pour le Molière du meilleur spectacle musical.

CRITIQUE - Dans un décor sobre, Guy Cassiers met brillamment en scène la tragédie de Racine, magnifiée par Suliane Brahim et Jérémy Lopez.

Marine Chartrain nous plonge dans un thriller psychologique. Une performance interprétée avec brio par Maëlys Ricordeau à Paris.

Sa naissance, ses années d’écoles, son parcours politique... L’ancien candidat à l’élection présidentielle livrera anecdotes et confidences sur sa vie, durant quatre soirs au théâtre de la Tour Eiffel à Paris.