Boris Cyrulnik Ethologue, psychanalyste, psychologue, neuropsychiatre et écrivain français | Né à Bordeaux Vos avis (42) :
“L’évolution naturelle et culturelle ne se fait que grâce aux catastrophes.” De Boris Cyrulnik / Le Figaro Magazine, 2 janvier 2015
“Il faut distinguer le réel, et la représentation du réel qui se traduit par des récits de tristesse et d’abattements.” De Boris Cyrulnik / Le Figaro Magazine, 2 janvier 2015
“Il faut comprendre que le pessimisme ou l’optimisme n’ont rien à voir avec la réalité. Ils sont fonction de la représentation que l’on se fait du réel.” De Boris Cyrulnik / Le Figaro Magazine, 2 janvier 2015
“Grâce à la technologie des armes et des transports, le XXème siècle a découvert une barbarie que ni l'Antiquité ni le Moyen Âge n'avait connue, la guerre contre les enfants.” De Boris Cyrulnik / Antoine Spire - Le Monde de l'éducation - Mai 2001
“Contrairement aux États-Unis, où le terme "résilience" est d'usage courant, tel un marqueur d'optimisme, en Europe il est plus difficile de l'imposer, comme si nous avions un penchant pour le misérabilisme.” De Boris Cyrulnik / Antoine Spire - Le Monde de l'éducation - Mai 2001
“On ne négocie pas avec le désir d’une mère.” De Boris Cyrulnik / Psychologies Magazine - Février 2003
“Un enfant n'a jamais les parents dont il rêve. Seuls les enfants sans parents ont des parents de rêve.” De Boris Cyrulnik / Les nourritures affectives
“La famille, ce havre de sécurité, est en même temps le lieu de la violence extrême.” De Boris Cyrulnik / Les nourritures affectives
“Tes yeux sont trop près de ton nez pour le voir.” De Boris Cyrulnik / Psychologies Magazine - Février 2003
“Les grandes souffrances qui peuvent délabrer à jamais une vie affective ne se rencontrent que chez ceux qui connaissent la passion.” De Boris Cyrulnik / Les Nourritures affectives
“Le paradoxe de la condition humaine, c'est qu'on ne peut devenir soi-même que sous l'influence des autres.” De Boris Cyrulnik / Les Nourritures affectives