“Les criminels savent pourquoi ils sont condamnés, pas les malades.” De Christine Orban / Deux fois par semaine
“La vraie vie pour un romancier, c'est d'en fabriquer de fausses.” De Christine Orban / Libération - 15 Septembre 2001
“Le premier ennemi à combattre est à l’intérieur de soi. Souvent, c’est le seul.” De Christine Orban / Deux fois par semaine
“Le bonheur recèle toujours une part d’insouciance, le malheur de constance.” De Christine Orban / Deux fois par semaine
“Entendre une phrase qui tombe juste, c'est voir son âme dans un miroir.” De Christine Orban / Deux fois par semaine
“On écrit toujours des livres pour des motifs obscurs.” De Christine Orban / Evene.fr - Septembre 2005
“Je préfère être critiquée pour celle que je suis, qu'être aimée pour celle que je ne suis pas.” De Christine Orban / Libération - 15 Septembre 2001
“Il existe des mots plus assassins que des coups de poignard, des mots apparemment imparfaits qui transportent vers un autre monde.” De Christine Orban / Deux fois par semaine
“La question charnelle est une sorcellerie.” De Christine Orban / Petites Phrases pour traverser la vie en cas de tempête... et par beau temps aussi
“L’amour, projection d’illusions sur une personne inventée.” De Christine Orban / Petites Phrases pour traverser la vie en cas de tempête... et par beau temps aussi
“Commencer un roman, c’est prendre congé de la vie réelle.” De Christine Orban / Petites Phrases pour traverser la vie en cas de tempête... et par beau temps aussi
“La compréhension est le plus grand cadeau qu’un être humain puisse faire à un autre.” De Christine Orban / Evene.fr - Septembre 2005
“La mort de l'autre, c'est ça : ce mur, ce sens interdit contre lequel on se cogne tous les jours.” De Christine Orban / Libération - 15 Septembre 2001