“Les oncles, les tantes et les cousins, c’est bien. Les parents, c’est à ne pas négliger. Mais une grand-mère les vaut tous !” De Fanny Fern / Folly As It Flies
“La technologie est mère de la grande entreprise, grand-mère de l'intervention étatiste.” De André Siegfried / L'Ame des peuples
“Il n'y a rien de tel pour vous donner du génie que d'avoir un oncle cinglé ou une grand-mère sinoque.” De Raymond Queneau / Loin de Rueil
“Il faut garder la forme. Ma grand-mère a commencé à marcher sept kilomètres par jour à soixante ans. Elle en a aujourd’hui quatre-vingt-dix-sept, et on ne sait absolument pas où elle est.” De Ellen DeGeneres
“La vie devait être triste avec nos grands-parents, ils vivaient en noir et blanc. Je l'ai vu sur les photos de grand-mère...” De Paroles d’enfant / Enfandises.com
“J'habite un pays sombre plein de rêves profonds. Les récits de grand-mère et les signes de croix ont mis une chimère charmante, dans les bois.” De Victor Hugo / Chansons des rues et des bois
“Pour la Saint-Valentin, vous offrez des fleurs. Pour la fête des grand-mères, offrez des cercueils.” De Jean-Jacques Peroni / Les Carnets d'un malfaisant
“Les femmes sont curieuses ; fassent le ciel et la morale qu'elles contentent leurs curiosités d'une manière plus légitime qu'Eve leur grand-mère, et n'aillent pas faire des questions au serpent.” De Théophile Gautier / Mademoiselle de Maupin
“Aie dans les veines le doux lait de ta mère, et le généreux esprit de ton père ; sois bon, sois fort, sois honnête, sois juste ! Et reçois, dans le baiser de ta grand-mère, la bénédiction de ton grand-père.” De Victor Hugo / Correspondance
“Salut ; c'est le printemps ! c'est l'ange de tendresse ! Ne devinez-vous pas pourquoi je bous d'ivresse ? Ange de ma grand-mère, ange de mon berceau, Ne devinez-vous pas que je deviens oiseau, Que ma lyre frissonne et que je bats de l'aile Comme hirondell” De Arthur Rimbaud / Un Coeur sous une soutane
“Arthur Dreyfuss aimait les gros seins. Il s'était d'ailleurs demandé, si d'aventure il avait été une fille, et parce que sa mère les avait eus légers, sa grand-mère lourds, du moins dans le souvenir des étreintes asphyxiantes, s'il les aurait eus gros ou petits. Il trouvait qu'une poitrine conséquente obligeait à une démarche plus cambrée, plus féminine, et c'est la grâce de ces silhouettes en délicat équilibre qui l'enchantait ; le bouleversait parfois. ” De Grégoire Delacourt / La première chose qu'on regarde