“Prends-moi dans tes bras, c’est l’abîme, accueille-moi dans l’abîme… ” De Franz Kafka / Lettre à Milena Jesenska
“Je sens que lorsque je n’écris pas, une main inflexible me repousse hors de la vie. ” De Franz Kafka / Lettre à Felice Bauer
“Défilé patriotique... ces défilés sont l'un des plus répugnants phénomènes qui accompagnent accessoirement la guerre.” De Franz Kafka / Journal
“L'amour, c'est que tu sois pour moi le couteau avec lequel je fouille en moi.” De Franz Kafka / Lettre à Milena
“Quel homme je suis ! Quel homme je suis ! Je la tourmente jusqu'à la mort et moi avec. ” De Franz Kafka / Max Brod parlant de Felice Bauer
“Une nuit, je vous écrivais continuellement des lettres dans un état de demi-sommeil, je ressentais cela comme des petits coups de marteau ininterrompus. ” De Franz Kafka / Lettre à Felice Bauer
“Extérieurement nous allons paisiblement côte à côte, mais pendant ce temps-là l'air qui nous sépare est sillonné d'éclairs comme si quelqu'un le fendait continuellement à coup de sabre.” De Franz Kafka / Lettre à Felice
“Il n'y a personne pour me comprendre dans la totalité de mon être. Avoir quelqu'un qui le puisse, une femme par exemple, ce serait avoir pied de tous côtés, avoir Dieu.” De Franz Kafka
“Que ne suis-je devant votre porte et que ne puis-je pour ma propre jouissance – une jouissance capable d’abolir toute tension – appuyer sans fin sur votre sonnette !” De Franz Kafka / une Lettre à Felice Bauer
“Ecrire des lettres, c'est se mettre nu devant les fantômes ; ils attendent ce moment avidement. Les baisers écrits ne parviennent pas à destination, les fantômes les boivent en route.” De Franz Kafka / Lettre à Milena
“Je m’aperçois soudain que je ne puis me rappeler en réalité aucun détail particulier de votre visage. Seulement votre silhouette, vos vêtements, au moment où vous êtes partie entre les tables du café : cela, oui, je me souviens… ” De Franz Kafka / Lettre à Milena Jesenska