“Et si on envoyait quelqu’un qui se faufile dans leur camp sans se faire repérer pour observer leurs faits et gestes ? Ou alors, ça fait doublon avec l’espionnage ? Je me rends pas compte … ” De Kaamelott
“Je vais souvent au théâtre et je m'ennuie très souvent et alors je ne me rends pas compte quand je joue que j'ennuie les gens. [...] Je pense quand même que le théâtre est très poussiéreux.” De Jean-Louis Trintignant / France Culture, "Connaître le cinéma", interview du 29/10/1966
“En annonçant de bonnes nouvelles, on se rend aimable. En en annonçant de mauvaises, on se rend important : choisissez.” De Henry de Montherlant
“Quand l'amour me rend tout de feu, Le respect me rend tout de glace.” De Honorat de Racan / Ode bachique
“Il y a deux sortes d'amour : l'amour insatisfait, qui vous rend odieux, et l'amour satisfait, qui vous rend idiot.” De Colette
“Quand une femme accorde un rendez-vous, elle ne sait jamais si elle consentira ou si elle ne consentira pas. C'est même pour le savoir qu'elle donne le rendez-vous.” De Tristan Bernard / La Petite Femme de Loth
“L'ironie et la pitié sont deux bonnes conseillères ; l'une, en souriant, nous rend la vie aimable ; l'autre, qui pleure, nous la rend sacrée.” De Anatole France / Le Jardin d’Epicure
“La haine trouble la vie ; l’amour la rend harmonieuse. La haine obscurcit la vie ; l’amour la rend lumineuse.” De Martin Luther King / The Words of Martin Luther King
“Le chocolat nous rend pervers, il éveille en nous la culpabilité, il nous pousse au péché, il nous donne la santé, il nous rend chic et heureux.” De Elaine Sherman
“Parole, qu'est-ce-qui te rend belle ? La façon de me dire. Parole, qu'est-ce-qui te rend laide ? La façon de me dire.” De Massa Makan Diabaté / Le Boucher de Kouta
“C’est la philosophie qui découvre les vertus utiles de la morale et de la politique. C’est l’éloquence qui les rend populaires. C’est la poésie qui les rend pour ainsi dire proverbiales.” De Chamfort / Maximes et pensées
“L’échec qui rend parfois sympathique, rend rarement aimable.” De François Proust / Maximes à l’usage des dirigés et de leurs dirigeants