“Les faibles vivent suivant le bon plaisir du monde, et les forts, selon le leur.” De Giacomo Leopardi / Pensées
“Les enfants vivent les habitudes familiales comme des normes indiscutables et rassurantes.” De Jean Bernard / Le Fils du lendemain
“Les poètes n’ont pas la pudeur de ce qu’ils vivent : ils l’exploitent. ” De Friedrich Nietzsche / Par-delà le Bien et le Mal
“Les gens qui vivent dans le passé doivent s'incliner devant ceux qui vivent dans l'avenir. Sinon le monde se mettrait à tourner à l'envers.” De Arnold Bennett / Repères
“C’est comme ça dans les guerres tribales : les gens abandonnent les villages où vivent les hommes pour se réfugier dans la forêt où vivent les bêtes sauvages. Les bêtes sauvages, ça vit mieux que les hommes.” De Ahmadou Kourouma / Allah n’est pas obligé
“Il y a des hommes qui, quand ils vivent quelque chose très intensément, doivent beaucoup en parler.” De Jerzy Kierst / De plus en plus difficile
“Les hommes mariés ne vivent pas plus longtemps que les célibataires ; la vie leur paraît seulement plus longue.” De Anonyme
“Les conteurs d'histoires ressemblent aux gens qui vivent d'emprunt, leur crédit ne dure pas.” De Duc de Lévis / Maximes et réflexions
“Les mendiants vivent de leurs plaies : il y a des hommes qui profitent de tout, même du mépris.” De François René de Chateaubriand / Pensées
“Les uns vivent de la mort des autres, les autres meurent de la vie de quelques-uns.” De Dominique de Roux / Le cinquième empire
“La conversation est un art. La preuve : d'aucuns en vivent ou en ont vécu (grassement ?).” De Jean-Marie Poupart / Ruches
“Pourquoi l'amour et la souffrance vivent-ils ensemble ? Parce que c'est un couple.” De Michel Conte / Le Prix des possessions
“On est tous coupable du malheur des autres, surtout des êtres qui vivent tout près de nous.” De Bernard Lavoie / Jaune
“Si tu rencontres deux êtres qui vivent en harmonie, sois sûr que l'un d'eux est bon.” De Proverbe kabyle
“Les gens excentriques vivent ce dont nous n'osons rêver de la provocation comme un des beaux-arts !” De Florence Müller