“Je déteste les gens qui ont un chien. Ils sont lâches et n’ont pas les tripes de mordre les gens eux-mêmes.” De August Strindberg / A Madman’s Diary
“C’est un crime d’être heureux : il faut donc que le bonheur soit châtié.” De August Strindberg / L’abbaye
“Les livres de cuisine n'ont d'autorité que lorsqu'ils sont signés par des hommes.” De August Strindberg / De l'infériorité de la femme
“Les fils sont élevés comme s’ils devaient rester des fils toute leur vie, sans qu’on pense le moins du monde qu’ils deviendront des pères.” De August Strindberg / Le fils de la servante
“Quand on a vingt ans, on pense avoir résolu l’énigme du monde ; à trente ans, on commence à réfléchir sur elle et à quarante, on découvre qu’elle est insoluble.” De August Strindberg / La Saga des Folkungar
“Il m'arrive de croire que la misère attire la misère et que les gens heureux évitent le malheur des autres.” De August Strindberg / La Danse de mort
“Au fond, c’est ça la solitude : s’envelopper dans le cocon de son âme, se faire chrysalide et attendre la métamorphose, car elle arrive toujours.” De August Strindberg / Seul
“Si le cheval connaissait sa force, serait-il assez fou pour accepter le joug, comme il le fait ? Mais qu'il devienne sensé et s'échappe, alors on dira qu'il est fou...” De August Strindberg / Maître Olof
“La femme n'est que le complément de l'homme... Que les inférieurs dépendent des supérieurs, c'est un bonheur pour le progrès et pour eux !” De August Strindberg / De l'infériorité de la femme
“Qu'est-ce que la politique étrangère ? La coopération entre les classes supérieures des différentes nations.” De August Strindberg / Petit catéchisme à l'usage de la classe inférieure
“Le théâtre a toujours été une école pour les jeunes, les gens à demi-cultivés et les femmes, qui, possédant encore le bas talent de se tromper ou de se laisser tromper, sont accessibles à l'illusion et à la suggestion de l'auteur.” De August Strindberg
“Ecrire des drames, c'est tout de même ce qu'il y a de plus intéressant. Pareil à un petit dieu, on sonde les coeurs et les reins..., on juge..., on punit, on absout et on récompense.” De August Strindberg