“Si vous avez besoin de quelque chose, appelez-moi. Je vous dirai comment vous en passer.” De Coluche / L’Etudiant - 1980
“Vous pouvez appelez Dieu par le nom que vous aimez, mais la vérité est toujours la même.” De Swâmi Râmdâs
“N'appelez aucun être vivant malheureux. Même un amour non payé de retour possède son arc-en-ciel.” De James Matthew Barré / Le petit ministre
“Vous appelez le génie à votre secours, lorsque le danger est imminent, et dès qu'il se présente, vous vous effrayez de lui. ” De Johann Friedrich von Schiller
“Ce que vous appelez la couche végétale de ce globe, c'est mille et mille linceuls superposés l'un sur l'autre par les générations.” De Claude Tillier / Mon oncle Benjamin
“Beaucoup de brèves folies, c'est là ce que vous appelez l'amour. Et votre mariage met fin à beaucoup de brèves folies par une longue sottise.” De Friedrich Nietzsche / Ainsi parlait Zarathoustra
“Les livres aussi, ce sont des voisins - des voisins de rêve, qui viennent chez vous seulement quand vous les appelez, et qui s’en vont dès que vous ne voulez plus les voir.” De Amélie Nothomb / Les Catilinaires
“On peut fort bien vivre sans âme, il n’y a pas de quoi en faire une histoire, cela arrive très souvent. Le seul problème, c’est que les choses ne viennent plus vers vous, quand vous les appelez par leur nom.” De Christian Bobin / Une petite robe de fête
“Je suis heureux de tout ce qui m'est arrivé et de tout ce qui m'arrive encore aujourd'hui. Et je sais que je dois aussi cela à Jéhovah. Enfin, à Dieu, appelez-le comme vous voulez... ” De Prince / Paris Match, 22 octobre 2009
“Ce qui chez les humbles s'appelle rage, chez les seigneurs s'appelle superbe ; et ce qui chez les petits est châtiment, chez les grands s'appelle vengeance.” De Antonio de Guevara / Epîtres Familières
“La créativité sans stratégie, cela s'appelle de l'Art. La créativité avec de la stratégie, cela s'appelle de la "publicité".” De Jef Richards
“Une injustice dont nous profitons s'appelle la chance ; une injustice dont un autre profite s'appelle un scandale.” De Louis Dumur